Je jette avec grâce mon feutre,
Je fais lentement l'abandon
Du grand manteau qui me calfeutre,
Et je tire mon espadon ;
Elégant comme Céladon,
Agile comme Scaramouche,
Je vous préviens, cher Mirmydon,
Qu'à la fin de l'envoi je touche !
Vous auriez bien dû rester neutre ;
Où vais-je vous larder, dindon ?...
Dans le flanc, sous votre maheutre ?...
Au coeur, sous votre bleu cordon ?...
-Les coquilles tintent, ding-don !
Ma pointe voltige : une mouche !
Décidément... c'est au bedon,
Qu'à la fin de l'envoi je touche.
Il me manque une rime en eutre...
Vous rompez, plus blanc qu'amidon ?
C'est pour me fournir le mot pleutre !
- Tac ! je pare la pointe dont
Vous espériez me faire don :-
J'ouvre la ligne,- je la bouche...
Tiens bien ta broche, Laridon !
A la fin de l'envoi, je touche
---------------------------------------------------------------------------------
BALADA DEL DUELO EN EL HOTEL DE BOURGOGNE
Graciosamente tiro mi fieltro,
Lentamente me abandono
Desde el gran manto que me calafateaba,
Y yo saco mi pez espada;
Elegante como Celadon,
Ágil como Scaramouche,
Te advierto, querido Mirmydon,
Que al final del envío te toco!
Usted debe haber permanecido neutral;
¿Dónde voy a despensar, pavo? ...
¿En el flanco, bajo tu mahoutra? ...
¿En el corazón, bajo tu cordón azul? ...
¡Las conchas tintinean, ding-don!
Mi punta volando: una mosca!
Decididamente ... es para el vientre,
Que al final de la correspondencia te toco.
Extraño una rima en otra ...
¿Te rompes, más blanco que el almidón?
¡Es para darme la palabra cobarde!
- ¡Tac! Yo pare el punto de que
Esperabas donarme: -
Abro la línea, - Yo la boca ...
Sostenga su broche, Laridon!
Al final del envío, te toco
No hay comentarios.:
Publicar un comentario